
J’ai découvert que ma conscience meurt chaque nuit dans mon sommeil
Et renaît au travers des rêves qui revigorent ma mémoire.
Évanescente insignifiance qui coule au moment du réveil
Dans la matérialité brève qui passe comme une écumoire.
Alors je deviens tout petit jusqu’à atteindre le zéro,
Rejoindre l’infinitésimal afin de passer par les trous.
Tant pis si l’orgueil en pâtit car je ne suis pas un héros,
Juste un tout petit animal qui réfléchit ni peu ni prou.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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