

Dans mon bestiaire imaginaire,	les zèbres se métamorphosent
En jolies filles en bas résille	ou en chaussettes à rayures.
D’une ardeur extraordinaire	pendant l’amour, elles se nymphosent
Jouissent et après, s’égosillent	en espérant la revoyure.
Or je refais ce même rêve	et je rejoue à saute-zèbre
En frôlant entre les zébrures	leurs jolies croupes chevalines.
Hélas la jouissance trop brève	qui leur agite les vertèbres
Me propulse hors de leurs cambrures	et libère mon adrénaline.
Photos de Sit Haairo.

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