Pour calmer mes ardeurs de lion, j’ai mis un tigre dans mon cœur Et depuis tous mes sentiments s’expriment fort en rugissant. Mes émotions vont par millions animer mon esprit vainqueur Mais ma candeur, évidemment, se cache aussi en rougissant.
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Puisqu’aujourd’hui, c’est les trois huit (*), on va s’y remettre à plusieurs Pour entamer quelques parties au jeu des échecs de la vie. Rois et reines et toute la suite vont avoir de froides sueurs Et, croyez-moi, leurs réparties vont éclabousser le parvis.
C’est en lisant dans les beaux livres que j’ai percé de mon regard Des aventures fantastiques qui m’ont ouvert leurs horizons. Et cette passion me délivre de notre pauvre monde hagard Où, loin des esprits sarcastiques, mon cœur se sent comme en prison.
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Pour arriver à mes fins, sans être superstitieuse, J’ai des manies, je l’avoue, un peu drôles, je le confesse. Pourtant j’ai tellement faim de victoires audacieuses, Qu’alors, je m’en contrefous et je mets la main aux fesses.
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At every turn that made the earth around the solar star, I’m growing up little by little and I’m rising to the sky. I built my character, as a progression of school Who opens big appetites on essential feed.
À chaque tour que fait la Terre autour de l’étoile solaire, Je grandis petit à petit et je m’élève vers le ciel. Je me bâtis le caractère, comme une progression scolaire Qui m’ouvre de grands appétits sur les provendes essentielles.
Provende : au figuré, matière à réflexion, inspiration.
Plus on est de fous, plus on rit ! C’est le ciment de l’amitié Qui fait que chaque bon moment est amplifié par milliers ! Alors André, Paul et Henri (*), ne faites pas les choses à moitié Et faites danser vos mamans, vos femmes, filles et familiers !
* et tous les autres aussi, évidemment, mais la rime, c’est la rime !
Ils portent un chapeau pointu, une plume plantée dessus Puis, ils embouchent leurs cornues pour jouer des turlututus. Ils allument leurs barbecues pour y faire chauffer la fondue, Ils forment un peuple invaincu avec un drôle de statut.
Oui mais…
Si vous les observez de près, ce ne sont pas des suisses que vous voyez ; Si vous les écoutez de près, ce ne sont que des étrangers ; Si vous les reniflez de près, ce n’est pas l’odeur de leur foyer ; Si vous voulez les goûter de près, ce sont des saveurs mélangées ; Si vous voulez les toucher de près, vous pouvez toujours vous y employer !
Moralité, plus il y a de suisses Et moins il y a de suisses.
L’image est extraite de la page 38 d’Astérix chez les helvètes. Quant aux réflexions sur les suisses, elles n’impliquent bien évidemment que moi et je les assume. Mais comme les suisses ont le sens de l’humour et que nous sommes le 1er août, fête nationale, on a le droit de rigoler !
Imaginez-vous Pinocchio faire son plus grave mensonge Et que son nez se développe au-delà des montagnes suisses. Ça donne l’un des plus cordiaux cérémonials qui se prolonge Et par monts et par vaux galope pour que chacun s’en réjouisse.
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Comme deux sœurs, tête coupée, elles se ressemblent, elles s’assemblent. Juyette vous offre les nuits chaudes et Youyoutte vous les rallonge, La première est une poupée et l’autre va très bien ensemble, L’une fait l’amour à la maraude et l’autre jouit de mensonges.
Loin de moi, l’idée de couper la tête de ces charmantes demoiselles mais c’était pour évoquer la très jolie chanson de Georges Brassens « Comme une sœur, tête coupée ».
Ça fait toujours un pincement dans le petit cœur de Juliette Lorsqu’elle doit abandonner ses pâturages de juillet. Et j’en entends son grincement de dents au timbre des clochettes Des vaches qui lui ont donné le meilleur des produits laitiers.
Vue sur la vallée de Kollbrunn avec au loin les alpes suisses un peu dans la brume lorsque je monte vers Eidberg.
Il m’arrive de sentir que je suis dans le futur En train de me transférer des messages de l’au-delà. Où ai-je pu ressentir cette insolite ouverture Qui viendrait s’interférer dans mon présent que voilà ?
Peut-être que ce futur s’est déjà manifesté Et que je ne fais que jouer à nouveau une saynète ? Peut-être une investiture dans une époque infestée Où je dois me dévouer au secours de la planète ?
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Quelques heures avant ta naissance, que pensait ta mère lionne ? Toi, futur roi des animaux, te préparais-tu à bondir ? Personne, même la science, à moins qu’elle ne se perfectionne, De ces infinitésimaux, ne saurait les approfondir.
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Le secret du simple bonheur est dissimulé dans le pot Que la petite fille en bleu a elle-même distillé De l’essence même du cœur qui a goutté à fleur de peau Des larmes de joie comme il pleut dans son regard émoustillé.
Je me sens bien seul au monde de m’être si haut perché ! Peut-être que j’ai hissé ma barre de plus en plus haut ? Ma folle humeur vagabonde n’aura fait que m’empêcher De m’employer à tisser des relations en duo.
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Pour cueillir la fleur du courage, j’ai bien entretenu mon cœur. Je l’ai arrosé d’innocence sans jamais m’en amouracher, Je lui ai donné l’éclairage d’un soleil chaud, grand et vainqueur, Et l’ai ouvert aux connaissances sans jamais me décourager.
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Que d’interprétations à naître apparaissent à ma fenêtre ! Pour un musicien, c’est la gamme qui fait tout l’art de cette femme ; Pour l’architecte, le squelette montre sa plus belle palette ; Le peintre y observe, en lavis, l’empreinte nette de la vie ;
Le naturaliste, c’est facile, la présente comme un fossile ; Le guérisseur, au quotidien, suit les sillons des méridiens ; Le photographe, par hasard, a pris cette photo bizarre ; Et pour le poète, c’est l’amour dont l’encre a tracé les contours.
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Heute Abend, möchte ich ändern und einen organisierte Traum machen. Dann, zu Petra reiten, zusammen mit Dromedare. Aber durfen wir uns nicht irren und besser sie finden Sonst wird es einen Alptraum werden, ohne weiteren Kommentar.
Ce soir j’ai envie de changer et faire un rêve organisé. Alors, destination Petra, ensemble à dos de dromadaire. Mais faudra pas se mélanger et plutôt la localiser Sinon, cauchemar, patatras, sans autre forme de commentaire.
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Quand vint au monde le lionceau, il y eut alors deux naissances ; Celui qui traverse la porte et celle qui fait l’ouverture. Immense est celle du jouvenceau, tout innocent de connaissance ; Divine pour celle qui apporte sa récompense à la nature.
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Le passé est omniprésent comme les eaux d’un lac tranquille Qui recouvrent les souvenirs juste cachés mais persistants. Plus j’avance avec le présent, plus ces mémoires immobiles M’accompagnent vers l’avenir, pour le moment, inexistant.
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Ne me demandez-pas où je suis, je suis parti pour nulle-part ; Je n’ai rien mis dans les valises, ni allumé le G.P.S. Ne me demandez-pas qui je suis, peut-être un fou sur le départ Qui a arraché ses balises pour poursuivre quelques déesses.
PS : je suis allé dans ce joli petit village il y a une vingtaine d’années, je ne me souviens plus du nom, ni où c’est et je m’en moque.
« où je suis », verbe être ; « qui je suis », verbe suivre… pour ceux qui n’auraient pas suivi.
Le plus passionnant des romans n’est pas encore disponible ; Pareil au secret du bonheur, je dois, moi-même, me le construire. Car le présent est le moment, de toute ma vie, le plus sensible Dans lequel je peux, à toute heure, soit me bâtir, soit me détruire.
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Dans ma plongée hypnotique, je descends tout doucement Vers les mémoires cachées que je voulais oublier. Je sens des formes nautiques faire des attouchements Et tenter de m’attacher dans les eaux du sablier.
Mais j’ouvre toutes les portes, les fenêtres à la volée, Que je commence à démonter de la dernière à la première. Et je sens que me transportent tous mes souvenirs volés Que je fais tous remonter vers le canal de lumière.
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Quand soudain le son des trompettes jaillit derrière le rideau, C’était comme si commençait l’appel du jugement dernier. Et les corps qui faisaient trempette dans l’eau, couleur de péridot, Basculèrent à l’énoncé du bel angelot fontainier.
Le péridot est, en minéralogie, une variété de gemme de forstérite de couleur verte.
Le roi des animaux est assez papa-lion ; Il règne en sa famille un parfum magnanime. Tous l’acclament à mi-mots, même les papillons Hissant sous les ramilles leurs ailes unanimes.
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Bien sûr, si j’invite Madame à prendre un verre intimement, Point n’est pour d’alcool l’enivrer ni trop d’amour l’anéantir. Mais je devrai monter la gamme en sachant que, pertinemment, Si c’est trop beau pour être vrai, je n’aurai plus qu’à lui mentir.
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Pour bien amadouer le lion, j’ai étalé ce tapis rouge Pour le faire accéder au ciel, triomphe de sa Majesté. Ces petites fleurs par millions, ces petits pétales qui bougent, Montreront la voie essentielle, immaculée, incontestée.
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Lorsque je lui projette l’ombre de mes désirs, Je lui change son âme et son cœur se rétracte. Elle n’est pas sujette à se laisser saisir Car, voyez-vous, ma dame, n’est pas un artefact.
Artefact : lorsque l’observation change la nature de ce qui est observé.
Color-Lion notre journée par les couleurs de notre cœur (de Lion) ! Badigeonnons de bleu royal toutes nos meilleures pensées ; Du gros rouge, c’est ma tournée pour nous donner l’air du vainqueur ; Un peu d’or sur l’âme loyale et puis quelques ombres foncées.
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Les matins sont comme un phare qui me guide la journée. L’aube crève l’horizon en m’annonçant la couleur Dans un réveil en fanfare où la joie va enfourner Ses croissants de guérison qui vont soigner mes douleurs.
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On m’a offert un livre étrange ; toutes ses pages y sont blanches. On doit tout simplement rêver et le miracle se produit. On prends sa couverture orange puis, de samedi à dimanche, On ouvre sa page privée qui s’accorde avec aujourd’hui…
Je prends le train pour y aller (ce n’est pas la porte à côté). Après une allée d’orangers, c’est la maison de l’aventure ! Je donne un grand coup de balai, les enfants sont asticotés Puis nous commençons à ranger des espèces de créatures…
Il y en a plein le frigo sur des petits tabourets pliants Mais je suis toujours dérangé par un petit goinfre affamé. Je replie leurs pieds indigo parmi les enfants suppliant De leur en donner à manger ; je le fais, j’en suis acclamé…
Puis je bois une bonne bière dans un grand verre de moutarde Et on se donne rendez-vous devant un grand chocolatier. Enfin, parmi les étagères d’un grand magasin, par mégarde, Nous achetons, je vous l’avoue, et n’en payons que la moitié…
Ça à l’air un peu décousu mais c’est mon rêve de cette nuit – et en couleurs s’il vous plaît – que je vous livre tel quel. Tintin n’y est pour rien mais comme il passait par là, il a bien voulu me donner un coup de main pour la couverture orange… c’est étrange…
J’aime la musique suave, toute en rondeur et en douceur Qui fait des volutes de gamme qui disparaissent en fumée. Je m’y sens comme sur un nuage de notes en taches de rousseur Et qui déshabillent, Madame, mon cœur de chansons parfumées.
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Parfois je descends sans en voir le fond ; Aucune lumière ne guide mes pas. Quand l’âme décante tout ce qui la trouble, Seul le cœur propose de lâcher la rampe.
Rien n’est indécent d’aller si profond ! Ma chair, la première, succombe à l’appât. Mais, ce qui m’enchante quand je vois mon double C’est qu’on se suppose, de la même trempe.
C’était un jour de déprime, ce n’est pas grave, ça m’arrive régulièrement et je me laisse dériver…
Tous mes amis sont des regards qui s’ouvrent sur de nouveaux rêves Et m’apportent un nouveau langage qui m’ouvre tant de découvertes. Quand mon cœur est un peu hagard, je me retourne alors sans trêve Pour écouter ce qui s’engage dans notre relation ouverte.
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Comme sa Majesté le Lion n’a que trente jours à régner, Elle en compense la douleur en brillant dans le ciel nocturne. Les libellules et papillons, oiseaux de nuit et araignées En respectent bien les couleurs pour qu’Elle ne soit pas taciturne.
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Là-bas au pays des pastèques (qui produit aussi des melons), Le lama faisait réfléchir les vantards de belle envergure. Jadis, dans tous les bars aztèques, on l’appelait « Lama-Melon » Pour qu’il vienne vous rafraîchir en vous crachant à la figure.
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Voilà qu’au milieu de l’été, le fauve de mille lumières Se faufile entre les rayons d’un soleil fou de rébellion. Sous le vent d’un souffle haleté qui fait dansoter la poussière Soudain nous nous émerveillons de voir s’exhiber le lion.
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Depuis la nuit des temps, dans les cités aztèques, Sautillent les chevilles sous les jolis jupons. Ça calme et ça détend, c’est la danse pastèque Qui fait valser les filles dans des ballets fripons.
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Quand les hommes lisent, c’est pour s’évader Le temps d’un roman ou d’une aventure. Ils font leurs valises pour se balader Loin de l’assommant monde d’argenture.
Quand les hommes lisent, le temps se suspend, Les heures défilent à toute vitesse. Ils se tranquillisent de tous les suspens Que la vie enfile dans leur petitesse.
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Quand je prends un livre, je ne suis plus là ; Mon fauteuil est vide, l’absence est notoire. Ce qui me délivre des bruits d’ici-bas, C’est quand je dévide le fil d’une histoire.
Lorsque je découvre de nouveaux savoirs, Mon âme se branche sur des longueurs d’ondes Qui m’aident et qui m’ouvrent pour me recevoir ; Ainsi je débranche le reste du monde.
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Quand les femmes lisent, elles agrémentent Leur jardin secret de pensées secrètes. Elles analysent, elles se lamentent Quand c’est consacré à ce qu’on regrette.
Quand les femmes lisent, c’est pour se défendre, Pour construire un nid ensemble en famille. Ça déstabilise l’envie de dépendre Avec ironie, d’être trop gentilles.
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Lorsque vient la fin du Cancer, tout l’orchestre se met debout Pour saluer d’une ovation son chef et ce public vivant ! Et tout le monde de concert, mettre à ses lèvres son embout Pour un refrain d’innovation en attendant l’été suivant.
L’image est extraite du dessin animé « Yellow Submarine » avec les Beatles sorti le 17 juillet 1968.
Lorsque les chats lisent par télépathie, Ils sont dans ma tête, ils sont dans mon cœur. Les chats m’hypnotisent par leur empathie ; Ces félins m’embêtent mais à contrecœur.
Lorsque les chats lisent, ils se moquent bien De perdre l’honneur ou perdre une affaire. Les chats symbolisent, mon Dieu, ô combien, Que le vrai bonheur, c’est de ne rien faire !
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Quand les garçons lisent, ils sont le héros De mille aventures autour de la Terre. Leurs corps réalisent de beaux numéros En désinvolture, bravant les mystères.
Quand les garçons lisent, c’est pour découvrir Comment il faut faire pour devenir fort. Eux, ils rivalisent à force d’ouvrir Des milliers d’affaires en milliers d’efforts.
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Quand il pleut, qu’est-ce que je rigole ; quand c’est l’orage, c’est le délire ! Je m’éclate sous les averses, m’écroule sous les hallebardes. Non, ce n’est pas des fariboles, c’en est même à pisser de rire ; Toujours, j’en tombe à la renverse, mes aïeux, là-haut, quand ça barde !
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Quand les filles lisent, le cœur bat plus fort, Tout au long des pages, pendant le danger. Elles se mobilisent de tous leurs efforts Devant les images des rêves étrangers.
Quand les filles lisent, elles sont amoureuses Du héros blessé qu’il faut protéger. Leur cœur cristallise les larmes douloureuses Qu’elles auront versées puis désagrégées.
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Tout l’hiver j’ai collectionné flocons de neige et givre frais Que j’ai conservés pour offrir aux oiseaux sous la canicule. Il faut les voir affectionner ce que je sors de mon coffret Pour leur dispenser sans souffrir ces petits sorbets minuscules.
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Quel voyage sublime, intense que celui qui part dans la brume, Où le paysage n’apparait que lorsqu’il est apprivoisé ! J’y ai bâti mes compétences sans regret et sans amertume ; Il m’a, la vie, accaparée sans qu’il y ait de quoi pavoiser.
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Comme on ne peut pas se promener nu sans attentat à la pudeur, J’ai inventé un vêtement qui, par la capillarité, Fait remonter l’eau contenue, dans l’allégresse et la candeur, Du pôle sud, parfaitement, sans provoquer l’hilarité !
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Tandis que la planète entière lentement glisse entre ses pôles, Que des pauvres voient venir des riches qui leur refusent leurs accès, Que l’on déplace, hors des frontières, communautés et métropoles, L’avenir reste dans les friches et mon futur est complexé.
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Parmi les rêves inassouvis, il y a le livre du Grand Tout Qui contient l’intégralité des connaissances et des secrets. Le concevoir nous asservit à obéir aux Manitous Qui changent la réalité pour mieux l’adapter à leur gré.
La démonstration par l’absurde serait de dire que s’il existe, Depuis des centaines d’années, tout serait donc déjà écrit. Souvent le cerveau se masturbe à des croyances fantaisistes Car il a peur d’être damné et que s’éteigne son esprit.
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